21 novembre 2008
+[ III ]+
Les choses, une à une, s’offrent à vous. Vous ne vous lassez pas de sa vue, vous avez besoin de sa présence, même s’il ne le ressent pas. Vous l’admettez, enfin, et vous tremblez. Aujourd’hui, clairement, il est possible de clamer à votre esprit que vous...